2021 - 1ère partie

 

Bonjour à tous,

 

L’exercice prévisionnel en astrologie mondiale est toujours un exercice amusant et stimulant. Il permet aussi d’avoir une hauteur de vue en ne se focalisant pas uniquement sur son seul pays. J’utilise pour ce faire à la fois l’outil numérologique et l’outil astrologique, et pour ce dernier, j’ai fait le choix de prendre en compte, en plus des transits liés aux planètes du système solaire, ceux des transneptuniennes que sont Sedna et Eris. Ces deux « objets épars », découvertes récemment par les astronomes (2003 et 2005), ont reçu toutes les deux le statut de « planète naine » (alors qu’elles sont plus grosses que Pluton, même si cette dernière a été reléguée depuis 2006 en « planète naine » elle aussi…).

 

 

Cet article, assez long, sera présenté en deux parties. La première parlera du climat général, la deuxième des générations concernées.

 

L’année 2020 s’est – enfin – terminée. Marquée par le chaos propre au chiffre « maître nombre » 22, et par des transits déstabilisants (notamment la conjonction Pluton-Jupiter-Saturne en capricorne au carré d’un Mars-Eris bélier), nous n’en avons pas pour autant terminé avec les turbulences, même si celles-ci seront moins chaotiques et disruptives que l’an passé, et même si, avec le passage de Jupiter et Saturne en signe d’air (le verseau), une bouffée d’air par rapport à l’énergie plus introvertie du capricorne, on va tendre vers plus de positivisme et d’espoir. Ouf. On en avait besoin.

 

Pour autant, une année 5 n’est jamais de tout repos, d’autant qu’après les épreuves de 2020, avec le paradoxe à vivre qu’elle nous a aussi obligés à un certain statisme, enfermement, contraintes, immobilisme… on aura tous envie de mouvements, de liberté, envie de se libérer du carcan de 2020, quitte à se montrer impatients et excessifs.

 

Par ailleurs, il faudra encore s’attendre à de nombreux imprévus déstabilisants avec le carré d’Uranus à Saturne présents toute l’année, et très actif en février, juin et décembre, imprévus qu’on ne verra pas venir et qui pourront s’exercer dans divers domaines et influer tant sur le domaine social et sanitaire, que sur le plan politique et économique. L’objectif commun pour Uranus et Saturne est aussi le besoin de LIBERTE, revendiquée et qui risque de s’imposer cette année en force. Le climat 2021 risque d’être à la révolte avec ces deux planètes, d’autant qu’Eris et Sedna accentueront cette ambiance électrique.

 

Autant pour 2020, on était dans le « CHAOS », autant pour 2021, on peut parier sur le terme « INSURRECTION ».

 

D’autre part, avec Sedna qui continue son lent chemin en taureau (actuellement en toute fin de ce signe), une mutation profonde est en marche, depuis déjà quelques années, mutation qui va jouer sur beaucoup de choses : le patriarcat, l’identité sexuelle, les relations hommes-femmes, les rapports dominants-dominés, les violences sexuelles et incestueuses, l’euthanasie… avec le risque de communautarismes, certes engagés, mais qui peuvent aussi diviser (les signes de milieu de saison comme le taureau étant parfois trop dans la confrontation et l’esprit de contradiction), mais probablement que cette mutation sera plus ouverte quand Sedna commencera à rentrer dans le signe des gémeaux à partir de 2024.

 

Plus concrètement, au printemps et en été, Sedna étant au carré de Jupiter, il pourra y avoir des revendications juridiques sur les sujets cités plus haut. Car il y aura la volonté pour beaucoup de provoquer des avancées rapides au niveau de la loi sur ces sujets de société majeurs. Même si, avec le carré d’Eris à Pluton présent toute l’année (et particulièrement actif au premier trimestre et à partir d’octobre), il pourra y avoir aussi des débordements violents. Eris, c’est aussi « la voix intérieure qui ne veut pas se plier à la volonté commune », surtout celle imposée depuis longue date par le même noyau dur de personnes privilégiées qui se sont reposées sur leurs acquis. Les personnes marquées par cette planète transneptunienne ne cherchent pas forcément la discorde pour la discorde, mais veulent faire avancer les choses, ce qui passe, selon elles, par une confrontation (qu’elles voient comme une émulation), voire une révolte, avec le risque que, dans un premier temps, cela puisse donner l’impression de provoquer plus de désordres que d’initiatives constructives…

 

Il faudra ainsi s’attendre et ce, partout dans le monde, à des manifestations de révolte, d’insoumission, de dénonciations de privilèges, de remise en question d’acquisC’est la position sociale de certains qui va sûrement être remise en question, et pas forcément d’une manière douce… Avec l’idée aussi qui sera sûrement défendue que la verticalité devra faire place à plus d’horizontalité et d’hétérarchie dans les prises de pouvoirs. Tout cela pouvant donner le meilleur (des personnalités politiques par exemple moins déconnectées du « terrain ») comme le pire (on l’a vu début janvier au Capitole). 

 

J’ai très peu parlé de la pandémie. Elle est toujours présente, et le sera pendant un moment, mais elle semble mieux gérée avec la bascule de Jupiter-Saturne en verseau depuis le 21 décembre dernier, qui ouvre une fenêtre d’espoir (l’arrivée des vaccins et d’une immunité collective ?). Pour autant, le virus est très loin d’être compris et maîtrisé, et il nous réservera sûrement bien d’autres surprises, avec le transit d’Uranus au carré de Saturne…

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